Des Beatles à Adele, on s’extasie toujours à l’écoute de ces délicieux enchainements harmoniques qui font les tubes d’hier et d’aujourd’hui. Et si quatre accords suffisaient pour jouer une infinité de tubes ? Explications…
Bien que personne n’ait jamais vraiment craqué l’algorithme ultime, le e=mc2, la formule secrète qui permettrait de prévoir le destin psycho-sonique et commercial d’un morceau, il existe tout de même une ou deux recettes : une suite d’accords par exemple « ré la si sol » appelée communément dans le jazz Anatole et sur laquelle on va pouvoir imaginer tout un tas de chansons et de mélodies. Démonstration avec une invitée de marque.