L’aniridie se caractérise par un oeil très noir, comme une grosse pupille dilatée. Les patients qui souffrent de cette maladie génétique rare ne possèdent pas d’iris ou seulement partiellement. Ils ressentent des larmoiements ou une sécheresse de l’oeil. Le risque de cataracte et de glaucome est très élevé. La cornée peut également s’opacifier.
Des patients sous haute surveillance : Pour prévenir les complications, un suivi ophtalmologique est nécessaire. Trois fois par an, le petit Jocelyn a rendez-vous chez son médecin.
Vivre avec un handicap visuel : L’aniridie concerne 1000 personnes en France. Comme l’acuité visuelle est mauvaise, les patients tentent de compenser leur déficience dès leur naissance. Mais malheureusement, parfois ça ne suffit pas. Pour éviter un obstacle ou encore reconnaître une personne, la mise en place de stratégies est nécessaire. Gaelle les établit avec l’aide d’un professionnel.