Fractures à répétition, déformation du squelette, déficit de croissance… Chaque année en France, un enfant sur 10 000 nait avec ce qu’on appelle une ostéogénèse imparfaite. Une maladie génétique plus connue sous le nom de maladie des os de verre. Cette pathologie héréditaire, diagnostiquée généralement avant la naissance, concerne autant les filles que les garçons. Les progrès de la génétique ont permis de démontrer qu’il existe plusieurs formes d’ostéogénèse imparfaite. Si toutes ont en commun la fragilité osseuse, elles n’ont pas le même degré de sévérité.
Du sport malgré la maladie : Certaines formes de la maladie des os de verre sont compatibles avec une vie normale et quelques précautions. La pratique du sport, notamment de haut niveau, est possible comme pour Marylou Morelle, championne de para-badmington.
Opérer les fractures : Il faut parfois intervenir par chirurgie auprès des malade pour consolider l’os en cas de fracture.